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28/01/2011

On ne choisit pas un contrat pour un taux…

Il est certain que les avantages notamment fiscaux des contrats d’assurance vie ont été réduits depuis un certain nombre d’années, au fil des modifications législatives. Une absurdité d’ailleurs lorsque l’on sait que c’est un produit d’épargne et de placement très apprécié des français, et donc un moyen de se constituer la retraite individuelle complémentaire indispensable.

Janvier est le mois de l’annonce des taux. Ce sera à la compagnie qui annoncera son taux la première ou au contraire à celle qui fermera le ban. Une chose est sûre, il y a un recul réel des résultats des fonds en euros. L’exception, ce sera 4% ou plus, la moyenne se situant plutôt autour de 3,5%, voire même moins que cela.

Et voilà, il suffit que L’AFER, qui fut longtemps la référence sur le marché, annonce un résultat de 3,52% en 2010 contre 4,12% en 2009, pour que le titre d’un article de presse réduise le sujet, à « l’assurance vie devient moins rentable ».

Mais, cela se saurait, s’il n’existait que le contrat AFER sur le marché. Et pour évaluer la rentabilité d’une assurance vie, il faut bien sûr regarder les résultats, mais d’abord les comparer sur un minimum d’années. Et, il y a bien d’autres critères à examiner pour apprécier la qualité d’un contrat.

On ne choisit pas un contrat seulement pour un taux…

Mais, vous vous voyez éplucher pendant des heures les propositions du marché avant de choisir. C’est pourquoi il vous faut un professionnel, un conseil indépendant, de fait plus objectif. Offrez-vous ce service, dans 10 ans, votre audace vous donnera raison

Dominique Baud

20/01/2011

Les grands esprits se rencontrent…

J’ai écouté ce matin, jeudi 20 janvier 2011, le début de l’émission « les Grandes Gueules » sur RMC…. Mon attention a été particulièrement attirée lorsque les discussions se sont enchaînées sur les services bancaires, leur qualité et leurs coûts. Les propos des animateurs et des auditeurs étaient unanimes pour dénoncer les difficultés des conseillers. Ils voudraient sans doute  proposer à leurs clients de bons produits, donner de bons conseils, mais cela leur est de plus en plus difficile, tant leurs marges sont réduites et tant les pressions auxquelles on les soumet sont importantes.

 Il faut vendre LE produit du moment. Les réels besoins du client sont loin derrière une telle exigence.

« Il faut réformer le système » ? A-t-on entendu.

Oui,  mais une vraie réforme, pas du bricolage…

« Les pauvres conseillers, eux, ni sont pour rien…. »

Oui, et non, car un vrai professionnel sait distinguer le bon produit du mauvais produit et ses conséquences respectives sur l’avenir pour le client et devrait pouvoir dire non.

Mais il faut manger… Alors, il est clair que certains exploitent ce système.

Moi, je n’ai jamais voulu y souscrire. Et ma résistance m’a valu, vous vous en doutez, des batailles sérieuses. Car pour moi, dans ce métier, on doit être tous gagnants, et sur la durée: le client d’abord, son conseiller et l’entreprise ensuite. A défaut, un jour ou l’autre, la relation se brise car il n’y a plus de confiance.

Je suis heureuse de constater qu’aujourd’hui, on commence sérieusement à contester publiquement ces procédures.

Car…, je croyais presque les entendre lire ce que j’ai écrit sur le dépliant de présentation de mon activité professionnelle et les raisons pour lesquelles j’ai décidé de créer ma société.

 Dominique Baud

 

 

 

 

 

19/01/2011

Dépliant de Présentation

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Dépliant de présentation.pdf